Le bien être des animateurs radios est-il toujours aux beaux fixes (éléments de réponses) ?

Une étude fait ressortir que le métier de journaliste radio est dur à vivre.

Même si, moi, j’ose y inclure en fait "Tous" les médias confondus, serait pour beaucoup sur l’état d’esprit et le mal êtres de ceux - celles qui vivent de ce métier (1).


J’avoue que des femmes des hommes comme ceux de "Reporter s’en frontières" (2) peuvent s’en doute eux prétendre que cela à un effet nocif sur leurs santés mentales, mais aussi physiques, soit.

Mais, peut ont en dire autant de celui qui et tranquille derrière sa table de mixage et/ou autour d’une table ronde avec un casque vissé sur les oreilles à faire des débats et/ou faire du "Music and news" ?

Eh bien oui, il paraîtrait que oui justement.

La déprime, les soucis de santé (prescription de médication pour enrayer le processus de mal-être, etc.) seraient nous apprend-t-ont dû aux conditions de travails au sein des radios.

Après, le souci est de savoir si un travail, pas et/ou mal fait aura des retombées aussi profondes sur l’animateur - animatrice ?

Naissent alors les soucis qui s’encrent insidieusement dans la tête de l’animateur et/ou de l’animatrice.

Ils - elles se questionnent sur leurs lendemains.

1-    Garderais-je mon poste ou pas ?

2-    Vais-je aller au placard ?

3-    Vais-je rester à l’antenne ?

4-    Vais-je aller sur le terrain ?

5-    Vais-je ne plus exister en tant qu’animateur (trice) ?

Pourrait-être autant de questions que de stress et d’angoisses naissent.

Alors, toujours d’après ce sondage (3) il tenterait à prouver que "OUI".

En effet, oui, les pressions que subissent les journalistes tant dans leurs rédactions que ce qui sont à l’antenne via leurs directions respectives jouerait sur leurs morals.

Et je peux les comprendre (ayant moi-même eu à subir ce genre de pressions là).

Ainsi, nous dit cette étude "Leur vie professionnelle a une influence négative sur leurs santé".

Alors, là encore, on comprend mieux l’angoisse, le stress de ceux - celles-là, car il s’agit de ceux - celles travaillent dans le secteur des radios privées.

Pourquoi le privé sembleraient-il plus toucher alors que les tensions vécues dans le public et/ou dans l’associatif et identique ?

Un milieu est-il plus propice à cela qu’un autre ?

Peut-il être vecteur de plus de mal-être, de plus pression qu’un autre ?

Quelques chiffres :

1-    64% Des journalistes estiment donc avoir une sorte de mal-être via leurs métiers.

Encore pire :

2-    77% Présenteraient un fort taux du ressenti de ce fameux mal-être au travail.

Mais, nous lisons tout de même une note positive, qui veut que chez les seniors nous dit-ont, seul :

3-    18% Estiment aux contraires que leurs travaux à une incidence "Positive" sur leurs vies.

Après, on nous parle de pression "Temporelle", "D’influence négative sur la santé", etc.

Mais je dirais que notre métier n’est ni plus ni moins un métier comme des centaines d’autres et que la pression, les baisses de morales et les angoisses sont les lots quotidiens de ceux qui aiment leurs métiers et qui se sente soumis sous les jougs de patrons qui se croient les chefaillons du monde, de leurs mondes.

De leurs mondes que ce soit dans les milieux des radios et/ou dans d’autres entreprises (on se souvient d’ailleurs des suicides réguliers et malheureux que "France Télécom" à essuyée il y a de cela quelques années déjà).

Mais, comme dans toutes études ils ont, avec intelligence, pesé le pour et le, contre.

Et outre tous les avis qui argumentent et vont dans un même sens, celui du mal-être général des journalistes.

Il ressort quand même que certains d’entre eux :

4-    89%, pense poursuivre une carrière de journaliste malgré les estimations de cette analyse.

Donc, nos amis journalistes sont à la fois malheureux de leurs conditions de travaux, mais sont pleins d’envies de continuer leurs carrières.

Cela me semble pas très cohérent tout cela vous ne trouvez pas ?

Cette étude fait tout de même 122 pages et centralise bien je trouve tout ou partie des maux de notre métier.

Cette étude encore ouvre, en catégorisent, en développent certains aspects de ce métier une façon de dresser de bonnes vraies pistes de réflexion sur lequel je ne peux qu’être d’accord sur certains des points qui y sont développez.

Ont dit pour faire facile que le mal de dos et le mal du siècle, mais je dirais que le mal-être des humains dans leurs métiers et aussi "LE" mal du siècle.

Après, que peut-ont faire pour améliorer les conditions de travails qui mine, taraude nos amis journalistes - animateurs de radios privées - publiques et associatives ?

Qu’elles recettes trouvé pour apaiser tout ce petit monde-là, alors ?

Je crois que les réponses se trouvent dans les têtes et bureaux de tous ses patrons - directeurs d’antennes et autres "D.R.H".

Pour les autres et bien ils leurs faux vivre sa en plus du mal-être global et général ambiant.

Alors en conclusion j’aime à dire un :

"Ah !  Qu’elle beau métier qu’animateur de radio et de journalistes, n’est-ce pas"…



Photographie trouver sur "Google" notre ami…



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